Mercredi 26 avril
Inscrire dans le corps, sur la peau, une phrase définitive est un acte de plus en plus courant. Il s’apparente à une épitaphe.
Les voitures deviennent d’infernales boîtes musicales. Envie de les retourner pour voir si le rap qui s’en échappe se transforme en un MEUH long et apaisant.
« Ce soir la mort pose son mufle chaud sur mon épaule comme une bonne compagne pas trop dérangeante pour le moment. »
Jacques Bertin
Bonjour. Je découvre votre blog – je suis d’ailleurs heureux de faire cette découverte au début de ce blog – j’ai ainsi pu le lire depuis le début. Et cette lecture m’a enchanté d’un bout à l’autre : vos aphorismes, vos pensées, vos fragments, vos micro-nouvelles, le choix de vos citations ( celui des illustrations ).
En résumé, j’aime le style de ce blog. Bravo.
Je reviendrai régulièrement.
Patrick.
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Bonjour
Je suis content que ce blog vous intéresse, d’autant plus que vous êtes un de mes très rare lecteur et le premier à laisser un commentaire.
Me voilà encouragé à poursuivre cet exercice quotidien.
Cordialement,
Jean-Pierre
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