Dimanche 22 novembre
Les mots viennent rarement tout seuls, il faut parfois aller les chercher dans des lieux sombres et reculés puis les réveiller, les apprêter et les fixer rapidement sur la page.
Ils se débattent alors et tentent de s’enfuir, une seule solution: les achever d’un trait de plume.

Bon jour,
Un peu radical : « les achever d’un trait de plume. »… la page aux tranchées pleines de cadavres de mots ? Non ?
Max-Louis
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Lorsque la plume est acéré, sinon ils sont seulement blessés et récupèrent dans la marge…
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Au commencement étaient les mots pour qui mieux vaut se voir achevés d’un trait de plume que d’être tabassés par une petite frappe numérique (et risquer l’effacement d’un binaire jaloux).
Non ? (Secondo esseulé)
Parallèlement, y’a vot’pot’pas afghan (quercynois selon sa bio) qui sue p’t’êt’ sang et eau sur sa tapisserie d’anapodotons peu ecclésiastiques !
Pour finir, pas de coda: n’est pas musical qui veut et le bretzel liquide se solidifie vite.
En conclusion -oui je sais; là j’fais une erreur qui crame ma participation-j’m’amuse bien à vous lire et vous prête mon Queneau.
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Merci, je veux bien le Queneau! bretzel solide!
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🙂
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Couic le vieux dictionnaire !
à défaut de les éventrer, on peut les éventer d’un peu d’air frais, avec la même plume (juste maniée dans l’autre sens)
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Bon, mes p’tits poussins, aurait dit la fermière, va falloir réviser votre conditionnel si vous voulez préserver votre futur… J’aurais avec un s, et les dindons seront moins farcis.
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J’aurai peur qu’ils ne s’envolent , il faut alors une plume légère en espérant qu’ils ne soient pas trop chatouilleux.
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un temps pour rire, un temps pour chatouiller, dirait l’Autre 🙂
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